Ce que l’on ne vous
dit pas sur la formation aux colorations végétales
L’essor
du secteur de la coloration végétale n’est plus un secret. Les Français ont
désormais compris que les produits chimiques sont mauvais pour leur chevelure
et adoptent de plus en plus ce mode de coloration. Ainsi, de plus en plus de
coiffeurs se mettent à la formation coloration végétale afin
de s’adapter aux exigences du marché. Vous êtes dans la même situation ?
Voici ce qu’on ne vous a jamais dit sur la formation aux colorations végétales.
Une alternative à la
coiffure classique
Aujourd’hui, on assiste à
la paupérisation du secteur de la coiffure et plusieurs professionnels songent
sérieusement à quitter le métier. Avec la nouvelle loi Macron, la situation
risque d’empirer, car toute personne se sentant capable d’exercer le métier de
coiffeur pourra le faire sans être diplômée. Du coup, la qualité de l’offre
risque de baisser sensiblement mettant les clients dans un danger permanent.
Une formation coloration végétale est alors une sérieuse
alternative pour faire face à cette crise. Si l’on sait que moins de 10% des
salons en France proposent la coloration végétale, c’est une opportunité de
reconversion pour ceux qui envisagent de quitter le métier de coiffeur. Mieux,
c’est un secteur en pleine croissance.
Une solution
avantageuse pour les coiffeurs allergiques
L’exemple de Charley
Assoun, créateur de Biocoiff est assez révélateur du calvaire que vivent la
plupart des coiffeurs en France. Celui-ci avait rapidement développé des
allergies au contact des produits de coloration chimiques à ses débuts. Étant
un passionné de coiffure, il a décidé de passer aux colorations naturelles pour
avoir l’opportunité de poursuivre sa passion de la coiffure tout en évitant les
produits chimiques. Depuis lors, le succès de son salon à Paris est sans
conteste. Aujourd’hui, plusieurs coiffeurs sont confrontés à la même situation
et une formation coloration végétale leur permettra sans doute
de continuer leur métier sans souffrir des réactions allergiques.
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